L’histoire d’un tournage… le second épisode de la mini web série « ITC s’offre une rentrée italienne »

En février, ITC traductions vous présentait le premier épisode d’une mini-série ayant pour objectif de fictionnaliser avec humour les conséquences dramatiques d’une mauvaise traduction sur les activités d’une entreprise à l’étranger. Qui dit mini-série dit bien évidemment plusieurs épisodes, avec nécessité de se renouveler.

Il aurait été facile de reproduire le même schéma, en mettant en avant l’importance de la qualité intrinsèque d’une traduction, mais ça serait oublier qu’une société de traduction fiable ne se juge pas uniquement sur sa capacité à produire des traductions de qualité.

Au moment de réfléchir au scénario du second épisode, la question importante était la suivante :

« Quelles sont les qualités essentielles d’un bon traducteur ? ». Assez rapidement, il nous a paru évident que la réactivité et la ponctualité étaient des facteurs de première importance. Les entreprises étant constamment soumises à des délais à respecter, la société chargée de la traduction se doit de les suivre. Il ne sert à rien de produire la traduction la mieux ciselée du monde si elle doit arriver une semaine en retard.

Nous avions donc notre thème principal : « une bonne traduction ne vaut rien si elle n’est pas livrée à temps »

Le tournage s’est déroulé en deux jours, tout d’abord à Saint-Georges-de-Reneins, pour le bureau du traducteur, puis à Vaise pour la première partie du film. Le rôle du traducteur étant muet, il fallait impérativement trouver un comédien capable d’exprimer naturellement le personnage de par son physique et son jeu corporel. Le choix s’est porté sur Gerhardt Comblet, comédien ayant notamment travaillé avec Claude Lelouch.

Les deux autres rôles ont trouvé preneur avec les comédiens Sophie Brulé et Gaétan Guilmin.

Comme pour le premier épisode, il a fallu compter environ 3 mois entre l’idée originelle et le film finalisé, bien qu’il ait été plus complexe à mettre en œuvre. En effet, le fait de tourner dans plusieurs décors plus élaborés et avec davantage de comédiens ajoute des contraintes qui doivent être prises en compte.

L’envie de communiquer sous forme de vidéo est présente depuis longtemps chez ITC, mais la volonté de communiquer par le biais de la fiction est une approche résolument nouvelle pour l’entreprise. Cette volonté est née de la rencontre avec 2.8 de diaph, une jeune société de production de films de communication spécialisée dans le film web, qui s’est chargée de toute l’écriture et de la conception du film.

David JACQUES

 

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